Un Tube, Une Histoire #235
10 janvier 2020 Ă 8h00 par Arnaud Leducq
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Nous sommes en 2002, Phil Collins publie l'album Testify, un album qui pour la premiĂšre fois ne contient pas de section cuivre. Un album quâil dĂ©crit dans sa biographie (Not dead yet - 2016) comme profondĂ©ment personnel. C'est aussi la pĂ©riode oĂč Phil Collins commence Ă avoir de sĂ©rieux problĂšmes de santĂ©. Son oreille gauche a quelques ratĂ©s et ses cervicales le font terriblement souffrir. C'est la raison pour laquelle Phil Collins fait cette fois quelques infidĂ©litĂ©s Ă la batterie et se fait aider par des ordinateurs. Les ventes du disque ne sont pas Ă la hauteur de ses espĂ©rances, une chanson pourtant se dĂ©marque des autres, c'est I canât stop loving you. Un tube des annĂ©es soixante-dix que Phil Collins emprunte au britannique Leo Sayer (numĂ©ro 6 en Grande Bretagne en 1978). Cette ballade aux accents country est crĂ©ditĂ©e Billy Nicholls du groupe White Horse. Se sachant bientĂŽt sĂ©parĂ© de ses proches, il avait Ă©crit les paroles de cette chanson dĂ©chirante la veille dâun long voyage Ă Los Angeles. La version de Phil Collins, au titre raccourci, est revenue nous chatouiller les oreilles en 2002, et plus rĂ©cemment câest Taylor Swift qui revisite cette chanson, la qualifiant âchanson la plus belle et la plus triste de tous les tempsâ. [10/01/2020]
https://www.youtube.com/watch?v=zqF3OPnpJ6g
https://www.youtube.com/watch?v=apA-paPisu8
https://www.youtube.com/watch?v=_OTpqOjGjEc