Il arrête son action après 25 jours sans manger. Il entend poursuivre son aide aux migrants, mais par d’autres moyens. Il va notamment participer au chantier de mise en service d’un nouvel abri hivernal pour les exilés les plus vulnérables. La grève de la faim qui se poursuit néanmoins pour les deux associatifs Anaïs et Ludovic.