La permanence de Jean-Pierre Pont, située rue Faidherbe, a été vandalisée la nuit dernière. Le député de la majorité présidentielle a retrouvé la vitrine de sa permanence taguée. L’œuvre vraisemblablement du noyau dur des gilets jaunes du Boulonnais. Une enquête a été ouverte. Le député juge l’acte « inqualifiable », il se dit « révolté » et a porté plainte. Dans un communiqué, le préfet du Pas de Calais condamne fermement cet acte.