Une partie des salariés des sites de Leffrinckoucke et de Trith-Saint-Léger, près de Valenciennes, se sont rassemblés ce jeudi pour mettre l’État devant ses responsabilités. Selon les représentants du personnel, et notamment la CGT, l’activité ne cesse de diminuer et le chômage partiel s’installe petit à petit. De quoi s’inquiéter sur l’avenir des deux usines qui emploient quasiment 400 personnes.
Deux facteurs sont en cause pour Philippe Verbeke, de la CGT :
La SNCF ferait notamment affaire avec des entreprises espagnoles pour des soucis de rentabilité. Des réunions sont prévues avec l’État, la SNCF et la Région pour trouver des solutions.