L’intersyndicale a bloqué deux des trois accès au site pour protester contre « la casse de la filière nucléaire ». Les salariés dénoncent des suppressions de postes et une stratégie d’investissements déraisonnées. Des négociations ont lieu demain à Paris et les organisations syndicales comptent bien continuer à mettre la pression. Il fallait ce matin plus de 2 heures à un salarié pour rejoindre son poste de travail. Plus de 50% du personnel était en grève d’après les organisations syndicales.
Réduction d’effectif, suppression de certains avantages, pour les salariés, le virage pris par EDF n’est pas le bon. Des investissements colossaux comme à Hinkley Point en Angleterre pourraient coûter très cher et mettre en péril l’entreprise. Ecoutez Franck Redondo, porte-parole de l’intersyndicale et délégué FO :