D’avantage de sécurité à l’intérieur du camp de réfugiés de Grande-Synthe. C’est ce que constate les associations depuis son ouverture, il y a un peu plus d’un moins. Les passeurs pour l’instant ne font pas la loi, ce sont les bénévoles qui distribuent les logements. 1 320 personnes y vivent actuellement.
Les violences se multipliaient dans l’ancien camp du Basroch et dans celui de Téteghem, avant leurs fermetures. Dans le nouveau, le long de la Linière, la situation est apaisée depuis son ouverture il y a un peu plus d’un mois. Les passeurs ne font pas encore la loi. Reportage :